Subvention de 204 500 $ pour la géochimie de Montviel

Faits saillants du communiqué :

  • Subvention du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada de 204 500 $;
  • Les professeurs Benoît Plante et Mostafa Benzaazoua de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (« UQAT ») responsables du programme;

 

Montréal, le 27 mai 2015 – Ressources Géoméga inc. (« GéoMégA » ou la « Société ») (TSX‑V : GMA) annonce que les professeurs Benoît Plante et Mostafa Benzaazoua de l’UQAT ont reçu une subvention du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (« CRSNG ») de 204 500$ pour étudier le comportement géochimique de résidus de mines d’éléments de terres rares (« ETR »). Les travaux, réalisés à partir du minerai du projet d’ETR et niobium Montviel, permettront de prédire le comportement géochimique de résidus miniers porteurs d’ETR.

 

« Les travaux à réaliser grâce à cette subvention s’insèrent dans notre programme de caractérisation géochimique du projet Montviel, en cours depuis plus de 3 ans. Le schéma de procédé maintenant complété, les travaux ciblés serviront à prédire le comportement géochimique des résidus et différentes lithologies du projet Montviel pour une saine gestion environnementale. Globalement, les expertises et données scientifiques recueillies dans le cadre de notre programme de caractérisation géochimique seront mises à la disposition des différents chercheurs et instances gouvernementales responsables d’établir les critères environnementaux pour l’exploitation des gisements d’ETR. » commente Mia Pelletier, chef géologue et géochimiste de GéoMégA.

 

À propos du projet d’ETR et niobium Montviel

Le projet Montviel, détenu à 100% par la Société, se trouve à environ 100 km au nord de Lebel-sur-Quévillon et à 45 km à l’ouest de la Première Nation Crie de Waswanipi, dans la partie sud, développée, du nord du Québec. Montviel bénéficie d’un accès permanent, d’infrastructures publiques et de main-d’œuvre expérimentée dans ses environs immédiats. L’estimation initiale des ressources conforme au Règlement 43-101 a été publiée en septembre 2011 et totalisait (scénario de base) des ressources indiquées de 445 958 tonnes d’oxyde de néodyme et des ressources inférées de 160 347 tonnes d’oxyde de néodyme. La mise à jour de l’estimation des ressources selon le règlement 43-101 est prévue le mois prochain.

 

À propos de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (« UQAT »)

Créée en 1983, l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue propose une centaine de programmes d’études de 1er, 2e et 3e cycles dans différents domaines : administration, art-thérapie, comptabilité, création numérique, 3D et jeux vidéo, éducation, forêt, génie, mines et environnement, psychoéducation, santé et sécurité au travail, sciences infirmières et cliniques et travail social. Avec un volume de recherche annuel de près de 10 millions de dollars, l’UQAT possède 10 chaires de recherche et 11 unités de recherche en lien avec les créneaux prioritaires de ses territoires d’ancrage. Plus spécifiquement, l’expertise en environnement et gestion des rejets miniers de l’UQAT est reconnue mondialement entres autres par ses travaux réalisés dans le cadre de l’Institut de recherche en mines et environnement (IRME) UQAT-Polytechnique. Les recherches qui sont réalisées répondent aux enjeux mondiaux du secteur minier par le développement de pistes de solutions concrètes pour l’ensemble du cycle de vie d’un projet minier.

 

À propos du CRSNG

Le CRSNG vise à faire du Canada un pays de découvreurs et d’innovateurs, au profit de tous les Canadiens. Il appuie les étudiants universitaires dans leurs études supérieures, encourage et appuie la recherche axée sur la découverte et favorise l’innovation en incitant les entreprises canadiennes à investir dans des projets de recherche d’établissements postsecondaires et à y participer. Les chercheurs appuyés par le CRSNG sont à l’avant-garde des sciences, faisant fond sur la longue tradition d’excellence du Canada sur le plan scientifique.

 

À propos de GéoMégA (www.geomega.ca)

GéoMégA est une société d’exploration minière québécoise dont l’objectif est la découverte et le développement durable de gisements économiques de métaux au Québec. GéoMégA s’engage à respecter les normes de l’industrie minière canadienne et se distinguer par son ingénierie innovante, l’engagement des parties prenantes et son dévouement à la transformation locale.

 

Actuellement, GéoMégA a 56 989 560 actions ordinaires en circulation.

 

La Bourse de croissance TSX et son fournisseur de services de réglementation (au sens attribué à ce terme dans les politiques de la Bourse de croissance TSX) n’assument aucune responsabilité à l’égard de la pertinence ou de l’exactitude du présent communiqué.

 

Pour plus d’informations, contactez:

Simon Britt Kiril Mugerman
Président et chef de la direction Directeur du développement corporatif
GéoMégA GéoMégA
450-465-0099 ext. 4 450-465-0099 ext. 3
sbritt@geomega.ca kmugerman@geomega.ca

 

Mises en garde concernant les énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs à l’égard de nos intentions et de nos plans. Les énoncés prospectifs contenus dans les présentes sont basés sur diverses hypothèses et estimations posées par la Société et comportent un nombre de risques et d’incertitudes. Par conséquent, les résultats réels pourraient varier considérablement de ceux prévus ou suggérés dans ces énoncés prospectifs et les lecteurs ne devraient pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Veuillez noter que les énoncés prospectifs comportent des risques et des incertitudes connus et inconnus, comme il est mentionné dans les documents déposés par la Société auprès des autorités en valeurs mobilières du Canada. Divers facteurs peuvent empêcher ou retarder nos plans, notamment la disponibilité et le rendement des entrepreneurs, les conditions météorologiques, l’accessibilité, les prix des métaux, la réussite ou l’échec des travaux d’exploration et de mise en valeur effectués à divers stades du programme ainsi que l’environnement économique, concurrentiel, politique et social en général. La Société se décharge expressément de l’obligation de mettre à jour tout énoncé prospectif, sauf si la législation en valeurs mobilières l’exige.